Le Chocolat est bon pour la santé, pour le moral et serait un très sain aphrodisiaque.le chocolat contient potassium, magnésium, fer, anti-oxydants... Casanova ne s'en privait pas et en buvait de nombreuses tasses chaque jour, Madame du Barry ne manquait pas, dit on, de servir une bonne tasse de chocolat mousseux à ses amants.

Le chocolat contient le phényléthylamine, un acide aminé naturel que certains considèrent avoir des effets aphrodisiaques. D'autres stimulants sont contenus dans le chocolat : dopamine et sérotonine — La sérotonine produit des sentiments du plaisir d'une manière semblable à la lumière du soleil —, qui allègent la douleur et la théobromine aux effets stimulants, doux, durable, ayant une action positive sur l'humeur . Patrick Roger, nous propose une jolie Fanny qui vous invite à manger du "chocolat".

PARIS-EROS aux editions Parkstone

Après le Musée érotique de Berlin, Le Temple de Vénus d Amsterdam, un ouvrage sur Paris s'imposait. Riche de six siècles de galanterie, capitale mondiale de la mode et de l'amour, Paris est le symbole de l'érotisme et d'une sexualité joyeuse. Offenbach, dans la Vie Parisienne avait déjà créé un hymne à la joie des sens. L'auteur, avec liberté, adopte la démarche d'André Malraux, en construisant un musée imaginaire, dans ce Paris intemporel, où le temps est révolu, l'espace infini et le désir toujours présent. L'iconographie est exceptionnelle, elle provient de collections privées, jamais publiée, et couvre cinq siècles de l'histoire coquine de Paris, accompagnée d'un texte universitaire qui permet au lecteur de pénétrer dans un monde jamais vulgaire, toujours subtil celui sans fin depuis que le premier homme regarda la première femme : l'érotisme.

l'auteur : Hans-Jürgen Döpp a enseigné pendant de nombreuses années à l'université Johann Wolfgang Goethe à Francfort où il donnait des cours d'interprétation psychanalytique et d'histoire culturelle de l'art érotique. Depuis plus de trente ans, il rassemble des objets d'art érotique.